La chanson de Sarah
traces juives dans la chanson française
L'iDÉE
La chanson française doit beaucoup aux auteur·es et aux interprètes d’origine juive. Beaucoup sont resté·es très discrèt·es sur leur généalogie, au point d’incarner la France archétypique, comme Jean Ferrat, Guy Béart ou Barbara. Mais, au fil des années, le refoulé remonta à la surface…
La chanson de Sarah est une « conférence chantée » : un spectacle musical qui raconte une histoire à travers des chansons interprétées en direct. En partant à la recherche des traces juives dans la chanson française, on rencontrera notamment Francis Lemarque, Renée Lebas, Serge Gainsbourg, Régine, Georges Moustaki, Enrico Macias, Michel Jonasz et Jean-Jacques Goldman, avec Charles Aznavour en invité de marque, de l'après-guerre au XXIe siècle. Plus, disséminées au fil du spectacle, une demi-douzaine de chansons originales.
LES THÈMES
L’immigration et l'exil, l'émancipation, les petits métiers, la famille, le génocide et la guerre, la religion, Israël et le sionisme, l'antisémitisme, la différence entre Ashkenazes et Sépharades, le yiddish… C'est fou ce que les chansons racontent sans avoir l'air d'y toucher. Au terme du parcours, on devrait en savoir un peu plus sur l’identité juive.
ET POURQUOI SARAH ?
Sarah était la femme d’Abraham, le premier des patriarches. C'était la mère d’Isaac, la grand-mère de Jacob. Il y a d’autres figures féminines dans la bible (Rebecca, Rachel, Esther, Myriam, Ruth, Lea…), mais c’est Sarah qui s’est imposée comme métaphore de la femme juive, un peu comme Fatima pour la femme musulmane.
LE SPECTACLE
Henri Goldman raconte et chante, en s'accompagnant à la guitare ou à l'accordéon. Depuis 2020, Igor Maury l'accompagne à la guitare. En 2022, Laurence Vanpaeschen a rejoint l'équipe. (La formule solo reste disponible pour les petits lieux.)
En version complète, « la chanson de Sarah » dure 2 x 45 minutes, avec un bref entracte.
En version courte, elle dure environ une heure.
PARLER YIDDISH
Un rencontre dans la Pologne d'avant-guerre.
MIDDELKERKE
Souvenir de colonies de vacances à la mer du Nord.
Écrivez-nous
représentations
avenir
2023
Samedi 11 mars à la Maison commune, 81 rue Mercelis, 1050 Ixelles
passé
2023
Samedi 11 février à l'habitat groupé du Gros-Chêne, 30-38 rue de Bayau, Hévillers (BW)
2022
Dimanche 4 décembre à l'Espace Magh, 17 rue du Poinçon, 1000 Bruxelles
Vendredi 18 novembre au Centre communautaire Maritime, 93 rue Vandenbogaerde, 1080 Molenbeek
Vendredi 28 octobre au COOP, 23 quai Fernand Demets, 1070 Anderlecht
Jeudi 29 septembre au collège Matteo Ricci, 67 boulevard Poincaré, 1070 Anderlecht
Mercredi 28 septembre à la salle Cadol, 25 rue Delcoigne, 1081 Koekelberg
Samedi 11 juin au centre Garcia Lorca, 47 rue des Foulons, 1000 Bruxelles
Mercredi 11 mai à la Ferme Rose, 44 avenue Defré, 1180 Uccle.
Vendredi 1er avril et samedi 2 avril à l'UPJB (Union des progressistes juifs de Belgique), 61 rue de la Victoire, 1060 Saint-Gilles.
Avec Laurence Vanpaeschen (chant et accordéon) pour la première fois.
Reprise après une interruption de près de deux ans pour cause de covid.
2020
Vendredi 28 février à l'Aquilone, Liège. Avec Igor Maury (guitare) pour la première fois.
2019
Samedi 9 novembre pour l'Union juive française pour la paix, Paris.
Dimanche 24 février au Cabaret aux Oiseaux, Lessines
2018
Jeudi 22 février à la CSC de Bruxelles-Hal-Vilvorde.
Samedi 9 février au Musée juif de Bruxelles.
2017
Samedi 16 décembre à l'Allumette (Bruxelles). Avec Anne Rakovsky en invitée.
Jeudi 14 septembre au Club Cholem Aleichem de l'UPJB (Bruxelles). L'accordéon fait son apparition.
Vendredi 27 janvier et dimanche 29 janvier à l'UPJB (Union des progressistes juifs de Belgique), Bruxelles.
Lire la chronique de Françoise Nice dans la revue Points critiques.
2016
11 novembre : avant-première pour l'Union juive française pour la paix, Paris.
7 janvier : première ébauche au Club Cholem Aleichem de l'UPJB, Bruxelles.
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